Souvent décrite comme “La plus belle histoire d’amour du monde” parce qu’Aragon en avait ainsi décidé (il participé à la traduction de ce livre et en a écrit la très belle préface), Djamilia est un court roman de Tchinghiz Aïtmatov traduit du kirghiz.
En une centaine de pages, il brosse le portrait de Djamilia, une jeune femme vivant et travaillant au kolkhoze pendant que les hommes sont à la guerre.
C’est Seit, son jeune beau-frère, qui raconte l’improbable histoire d’amour dont il est le témoin entre Djamilia et Danïïar, une histoire où la musique, le chant, la peinture et la poésie sont autant de personnages clés.
Je recommande souvent ce roman aux étudiants de français pour sa prose extrêmement limpide, c’est aussi un cadeau original et peu onéreux. Sa couverture en Folio est particulièrement réussie.
En une centaine de pages, il brosse le portrait de Djamilia, une jeune femme vivant et travaillant au kolkhoze pendant que les hommes sont à la guerre.
C’est Seit, son jeune beau-frère, qui raconte l’improbable histoire d’amour dont il est le témoin entre Djamilia et Danïïar, une histoire où la musique, le chant, la peinture et la poésie sont autant de personnages clés.
Je recommande souvent ce roman aux étudiants de français pour sa prose extrêmement limpide, c’est aussi un cadeau original et peu onéreux. Sa couverture en Folio est particulièrement réussie.
1 comment:
oh tout un livre didonc...toute une histoire qui nous vient de loin!...oh aragon savait le kirghiz..;o)...
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